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Sur les chapeaux de roues !

31 janvier, 19h et des poussières. C’est officiel, nous sommes bel et bien dans les toutes dernières heures autorisées par l’usage pour souhaiter la bonne année… Et encore, si tu ne lis pas ce message d’ici minuit, ami lecteur, ce sera en quelque sort loupé. Je pinaille, je pinaille…

Alors ce mois de janvier ?

Comme chaque année, très chargé du côté de Cîrconflexe du fait d’une attaque administrative de grande envergure en règle : clôture comptable de l’année écoulée, préparation de l’Assemblée Générale annuelle, dossier de demande de subvention à déposer auprès de la Mairie de Vincennes… et j’en passe…

Ajoutons à cela le lancement d’une nouvelle création de rue et cela devient un petit peu n’importe quoi. Tiens, d’ailleurs, à propos de cette nouvelle création, intitulée La guerre est finie, une collecte de financement participative est en cours jusqu’au 22 février inclus sur la plateforme KissKissBankBank. Cette collecte a atteint les 70% des 2500€ visés hier, ce qui est déjà très bien, mais pas encore suffisant. Alors on garde le cap et on communique…

Et sinon ? La compagnie Ladgy Prod, portée par la talentueuse Ghislaine Laglantine, présente actuellement à l’Aktéon sa nouvelle création : Le loup qui voulait être un mouton, spectacle de marionnettes sans paroles pour les enfants dès 2 ans. Je l’ai vu (deux fois… sans compter le tout premier filage, j’suis fière), j’ai ri (à chaque fois) et j’ai trouvé ça beau (idem). Je ne saurai donc trop vous encourager à y aller, avec ou sans enfants.

Mais… Mais ? Oui, oui, oui, j’ai déjà parlé de Ladgy Prod sur ce blog : ici. Et p’t'être bien que ces temps-ci, je lui donne même un coup de main à ma copine Ghislaine côté diffusion. Ben oui, il me restait du temps. Euh. Bon, bref, j’y retourne : de futurs KissBankers Cîrconflexiens à convaincre… Et bonne année !

Bilan trimestriel… et bilan annuel !

Je vais être honnête avec toi ami lecteur, les listes me rassurent. Et en premier lieu les listes de choses à faire. Parce que, même si elles ont souvent tendance à être longue, très longue, beaucoup trop longue… (surtout lorsqu’elles sont chapeauté de la date du jour et qu’il faut également penser à manger et à dormir…) elles me permettent d’y voir plus clair, de hiérarchiser (j’y arrive de mieux en mieux, ce qui est plus que vitale lorsque l’on se pique de maintenir à flot une compagnie de théâtre que la paperasse menace parfois d’engloutir) et de donc de gérer le stress (ça aussi j’y arrive de… euh…)

Les listes ont aussi cet intérêt qu’elles permettent parfois de mesurer le chemin parcouru. Et côté lecture, j’aime bien ça… Et puis, garder une trace, tout ça.

Or, en ce 2 novembre 2015, il est temps de donner le bilan de mes lectures de ces trois derniers mois… et de faire le compte du nombre de bouquins sur les douze derniers mois. Alors… Du 1er août au 31 octobre, après avoir terminé le 17 août Sexus d’Henry Miller (entamé le 17/07), j’ai trimballé dans mon sac :

Plexus d’Henry Miller (roman) : 17/08-28/08
Nexus d’Henry Miller (roman) : 28/08-31/08
La mort s’invite à Pemberley de P.D. James (roman) : 31/08-03/09
Trois femmes grandes d’Edward Albee (théâtre) : 01/09-01/09
Cinq gars pour Singapour de Jean Bruce (roman) : 04/09-05/09
Délicate balance d’Edward Albee (théâtre) : 04/09-04/09
Le sens de ma vie de Romain Gary (entretien) : 05/09-05/09
Chronique d’hiver de Paul Auster (roman) : 06/09-10/09
Chronique japonaise de Nicolas Bouvier (récit de voyage) : 10/09-17/09
Alice au pays des merveilles suivi de De l’autre côté du miroir de Lewis Caroll (roman) : 17/09-19/09
Le rapport de Brodie de Jorge Luis Borges (nouvelles) : 21/09-21/09
La prisonnière, tome 5 de La Recherche de Proust (roman) : 22/09-04/10
La Maison et le Zoo d’Edward Albee (théâtre) : 05/10-05/10
La pensée de Léonide Andréiev (nouvelle) : 06/10-06/10
Temps glaciaires de Fred Vargas (roman) : 06/10-18/10
Désir sous les ormes d’Eugène O’Neill (théâtre) : 09/10-09/10
Long voyage du jour à la nuit d’Eugène O’Neill (théâtre) : 10/10-15/10
Le baiser de la veuve, suivi de Le premier d’Israël Horovitz (théâtre) : 15/10-17/10
Vers les étoiles de Léonid Andréiev (théâtre) : 18/10-18/10
Le collier rouge de Jean-Christophe Rufin (roman) : 18/10-19/10
Le petit livre des couleurs de Michel Pastoureau et Dominique Simonnet (entretien) : 19/10-20/10
Journaux de voyage d’Albert Camus (récit de voyage) : 20/10-24/10
Adieu Berthe de John Murray et Allen Boretz, adaptation d’Albert Husson et Francis Blanche (théâtre) : 23/10-24/10
Ekatérina Ivanovna de Léonid Andréiev (théâtre) : 24/10-25/10
Transit d’Henry Miller (théâtre) : 27/10-28/10
Le deuil sied à Electre d’Eugène O’Neill : 29/10-30/10
Et de la nuit 439 à la nuit 528… (Plus que 473…)

Du 1er novembre 2014 au 31 octobre 2015, voilà ce que cela donne :
- 39 romans
- 11 ouvrages de théâtre
- 3 essais
- 5 récits et/ou romans autobriographiques
- 2 recueils de nouvelles… et 1 nouvelle toute seule !
- 2 entretiens
- 2 récits de voyage

Soit 65 ouvrages et 144 Nuits… Ce qui se tient avec le bilan des douze mois précédents. Et bien me voilà parfaitement rassérénée.

Brève de librairie

Le contexte : La file d’attente de la caisse de la boutique Jeunesse&BD de la librairie Millepages de Vincennes…
(Et hop ! Au passage, p’tite page de pub pour une librairie indépendante que j’affectionne particulièrement. Et vive les librairies indépendantes !)
Les protagonistes : Un ado s’adressant à une pote, chacun veillant sur son butin…
Et la phrase !

« Il est plus cher mais il est moins long, ça veut dire qu’il est mieux. »

(Je regrette de ne pas avoir pu voir ce qu’ils avaient chacun en main…)

Pause récréative

Nous sommes entrés dans l’automne, il n’y a plus le moindre doute à avoir. Et c’est nul. Oui, je sais, cette formulation manque singulièrement de profondeur et, soyons honnêtes, de précision. Alors précisons.
Tout d’abord, je n’ai pas vu passer l’été. Faut dire que le planning des représentations de Cîrconflexe a été chargé ! Ceci étant, loin de moi l’idée de m’en plaindre. Mais voilà ! Pas le temps de souffler qu’il faut enchaîner avec la préparation de la saison prochaine. D’ailleurs, il va y avoir du neuf en 2016.
Mais passons, ce n’est pas le sujet.
Même si…
Même si voir Cîrconflexe tenir bon, se développer, s’affirmer… et surtout, participer pleinement à ce mouvement vers l’avant est source de fierté. Autrement dit : longue vie à Cîrconflexe !
Une petite voix me souffle tout de même de plus en plus fort que participer à nouveau à un projet comme comédienne et UNIQUEMENT comme comédienne, ce serait cool. Ah, tiens, revoilà le manque de précisions. Ce serait… Voyons. Source d’une nouvelle forme d’épanouissement dans mon parcours de comédienne qui se sent parfois un peu trop administratrice/chargée de diffusion, de production, de com’, j’en passe… Voilà, c’est dit. Et d’ailleurs, j’y travaille.

Avec tout cela, je suis en train de perdre l’idée de départ de ce billet. A savoir : l’entrée dans l’automne, c’est nul. Idée de départ dont l’objectif plus ou moins assumé est de braquer un p’tit projecteur sur mon nombril. Parce que, comme l’entrée de l’automne et l’humeur maussade qui en découle, c’est nul (oui, je me répète), il est important de mettre en place des parades. Comme, par exemple, un après-midi de pomponnage (hum… pas dit que l’Académie Française l’adoube celui-ci…) Cette séance s’est déroulé dans une école de maquillage parisienne, « l’Atelier Maquillage Paris », où j’ai déjà été faire un tour ou deux… (Voire trois… Mouah ah ah !) Cet après-midi s’est conclut par une petite séance photo en compagnie de ma maquilleuse, Kim. Séance qui me pousse à me demander si je ne suis pas passée à côté d’une grande carrière de présentatrice télé. Tu n’es pas obligé de répondre ami lecteur.

Sur ce, excuse-moi, mais j’ai un dossier à préparer pour M. Pôle Emploi. Ah ah ah ! Ah. Hum. On en reparle très vite. Allez… Photos !

 

La rentrée, c’est pour les autres

J+9 depuis le retour de la dernière tournée cîrconflexienne… (Tournée d’une vingtaine de jours qui s’est terminée au 30e Festival d’Aurillac et pendant laquelle j’ai – presque – bronzée comme si j’étais en vacances.)

J+6 depuis la représentation Guidéloise post-tournée du Trésor des bonimenteurs… (Représentation qui m’a offert l’opportunité de passer quasiment 15h dans une camionnette en un peu mois de 24h, le tout pour jouer devant… 15 personnes… hum… comment ça j’avais mal négocié la date ? oui, c’est vrai mais… mais non. Aucune excuse, même bidon, à fournir. Pardooon !)

J+1 depuis ma première visite à Pôle Emploi pour le renouvellement de mon intermittence… (Vivement la prochaine !… Faut dire que Pôle Emploi et moi, c’est une longue histoire, avec des files d’attente, de la paperasse en pagaille, de la sueur, des crises de nerf, des larmes et, on l’espère, des dénouements heureux. D’ailleurs, tu peux commencer à croiser les doigts ami lecteur. On s’tient au jus.)

J-2 avant la réunion de débriefing de la tournée précédemment citée… (Avec dédicace d’affiches pour nos hébergeurs aurillacois en ouverture, si c’est pas la classe, ça !)

J-4 avant la Journée des Associations Vincennoise… (Cîrconflexe y tiendra un stand, et ce pour la 3e année consécutive. Journée fofolle en perspective !)

J-11 avant les prochaines représentations cîrconflexiennes… (En l’occurrence : trois représentations du Trésor des bonimenteurs sur Alternatiba Toulouse… Alors ça, ami lecteur, ça, ça va être foufou !)

Donc, aujourd’hui, 1er septembre…
Jour de rentrée pour la France entière paraît-il…
On va rester cool.
Parce que lorsque l’on y réfléchit, on s’aperçoit qu’il y en a qui ne se sont pas arrêtés. Oui, je parle de moi à la 3e personne, et alors ? C’est mon blog, non ? J’vous jure.

PS : Merci à Y. pour la photo qui illustre ce billet, photo prise à Guidel justement… (Et oui ami lecteur, il faisait beau et chaud ! Pourquoi crois-tu que nous n’avons eu QUE quinze spectateurs ?? Je veux bien assumer une part de la responsabilité de l’organisation quelque peu défaillante de cette représentation, mais il faut être honnête, nous n’avons pas été aidé, oh non !…)

Le retour du retour du retour

Début mai, lors du dernier bilan trimestriel de mes lectures, je me dédouanais d’un choix de titre un peu facile en invoquant la fatigue lié à un récent retour de résidence. Et je (me) promettais de faire mieux la fois suivante. Aujourd’hui, 1er août, il est temps de faire le bilan de mes lectures du 1er mai au 31 juillet. Sauf que cette fois, je suis entre deux tournées circonflexiennes (pour en savoir plus, c’est par ici), ce qui est synonyme d’un peu (d’accord, de beaucoup) de stress… (Quant à la fatigue, rassurez-vous, elle va venir. Oh que oui. Mais le sujet n’est pas là.)

Donc… Donc ce billet s’appelle « Le retour du retour du retour ». Zut. On essaiera de faire mieux le 1er novembre !
Alors.
Qu’ai-je eu le temps de lire depuis le début du mois de mai ?

- Fin du tome I du Deuxième Sexe le 31 mai ! Tome dont j’avais débuté la lecture le 24 avril… Et lecture du tome II du 1er au 30 juin.
- En parallèle, détente des p’tits neurones grâce à quelques Maigret de ce cher Simenon… (Et cette fois, c’est officiel : j’ai épuisé le stock de ceux récupérés dans la bibliothèque de ma grand-mère maternelle… Pas glop.)

En tous les cas, voici ceux dont il s’agissait :
- Maigret et le client du samedi : 03/05-04/05
- La colère de Maigret : 24/05-26/05
- Maigret se défend : 26/05-27/05
- La patience de Maigret : 01/06-05/06
- Maigret et le tueur : 11/07-17/07

Et sinon :
- Charlotte de David Foenkinos (roman) : 07/06-07/06
- Un bonheur de rencontre de Ian MacEwan (roman) : 01/07-05/07
- Un barrage contre le Pacifique de Marguerite Duras (roman) : 06/07-09/07
- Le livre de sable de Jorge Luis Borges (nouvelles) : 09/07-11/07
- (Petite) reprise de la lecture des Milles et Une Nuits : nuits 386 à 438 sur le mois de mai…

…Et début de celle de la trilogie La Crucifixition en rose d’Henry Miller avec Sexus qui m’accompagne depuis le 17 juillet. D’ailleurs, voici quelques lignes tirées de ce roman autobiographique qui alterne scènes torrides et réflexions sur la création artistique…

« Quand on persiste à juguler ses élans, on finit par se changer en caillot de mucus. Et puis on crache un de ces glaviots, à se drainer, à se vider complètement ; et ce n’est que des années plus tard qu’un se rend compte que ce qu’on a expulsé, ce n’était pas de la salive, mais son moi le plus intime. Quand on a perdu ce moi, on en arrive toujours à galoper sans fin devant ses fantômes. On en arrive régulièrement à pouvoir dire avec la plus parfaite sincérité : « Je n’ai pas la moindre idée de ce que je voudrais faire dans la vie. » On finit par acquérir le don de se faufiler à travers le tamis de la vie et par sortir par le mauvais bout du télescope d’où l’on ne voit plus les choses que hors des limites, hors d’atteinte du moi et diaboliquement déformées. Dès lors, on est coincé. Quelle que soit la direction que l’on prenne, on se retrouve toujours dans la galerie des glaces, on court comme un fou à la recherche de la sortie, pour trouver que l’on n’est entouré que d’images torves de son amour de petit soi. »

Porte ouverte à la Grande Chaumière

Même s’il fait moins chaud que la semaine dernière, la température qui règne cet après-midi dans l’atelier de dessin a conduit à laisser la porte de secours située au fond de l’atelier ouverte.
Cette porte donne sur une petite cour intérieure et un jardin. Pas désagréable comme vue lorsque l’on se trouve sur la sellette. Plus agréable que de zieuter une horloge dont l’aiguille des minutes semble prendre un malin plaisir à ralentir lorsqu’elle se sait observée.
Soudain, une petite fille apparaît dans l’encadrement de la porte. Elle a quatre ou cinq ans, pas plus. Perchée sur ma sellette, je la regarde. Elle me regarde. Je lui souris. Elle me sourit en retour. Un instant encore et elle disparaît en riant.
Sur ce, sans bouger de ma sellette – la pose est de 15 minutes, il n’y en a pas plus de cinq de passées – je demande si l’un des dessinateur aurait l’amabilité de fermer la porte donnant sur la cour.
Non pas que je veuille que nous étouffions…
Mais tout de même, je pose nue… ;)

Lectures, le retour du retour

Le 1er février dernier, après avoir tenu un compte-rendu mensuel de mes lectures pendant un an, je passais à un état des lieux trimestriel avec un compte-rendu portant sur la période du 1er novembre 2014 au 31 janvier 2015, et ce sous le titre « Lectures, le retour ».

Nouveau bilan trimestriel pour les mois de février, mars et avril 2015… Ou : « Le retour du retour ». (Promis, je ferai mieux la prochaine fois, mais là, je rentre de résidence, j’suis crevée et du coup, j’ai même un peu de retard puisque ce message était prévu pour le 1 er mai. Arf.)
Alors…

Zombies de David Mitchell (roman) : 02/02-07/02
Le Côté de Guermantes, tome 3 de La Recherche de Proust (roman) : 07/02-07/03
Sans parler du chien de Connie Williams (roman) : 07/03-19/04
Sodome et Gomorrhe, tome 4 de La Recherche de Proust (roman) : 07/04-15/04

Maigret à New-York de Simenon (roman) : 24/03-26/03
L’amie de Madame Maigret de Simenon (roman) : 26/03-29/03
Le revolver de Maigret de Simenon (roman) : 29/03-31/03
Maigret et la jeune morte de Simenon (roman) : 01/04-03/04
Maigret tend un piège de Simenon (roman) : 15/04-16/04
Un loup est un loup de Michel Folco (roman) : 17/04-20/04
Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes (le roman… pas la nouvelle) : 20/04-22/04
Algernon, Charlie et moi, trajectoire d’un écrivain de Daniel Keyes (autobiographie) : 23/04-24/04
Le petit homme d’Arkhangelsk de Simenon (roman) : 26/04-29/04

Mais également :
Débuté le 29 avril et terminé le 2 mai… Un nouveau Simenon : Maigret et le voleur paresseux.
Débuté un tout petit peu plus tôt (le 25 avril) et toujours en cours : Le Deuxième Sexe, I de Simone de Beauvoir.

Proust continue donc de m’accompagner et ma foi, je ne m’en lasse pas. Il est même difficile de passer à autre chose une fois un tome refermé. A vrai dire, il me semble que Sans parler du chien, roman de science-fiction somme toute plutôt sympathique, a cruellement souffert d’avoir été commencé alors que je venais de terminer Le Côté de Guermantes. La psychologie des personnages m’a semblé d’une pauvreté exaspérante… Ce qui m’a conduit à me plonger en parallèle dans Sodome et Gomorrhe ! Aussi étonnant que cela puisse paraître, seul Simenon soutient la comparaison. Peut-être parce que, tout en développant une écriture infiniment plus simple que celle de Proust, Simenon insuffle une véritable âme à ses personnages, et notamment au Commissaire Maigret. Et ça, c’est fort appréciable !

Nouveau book !

Petit book deviendra grand.

Hum.

En tous les cas, il acquiert une place à part entière dans le menu de ce site au lieu d’être une sous-catégorie de la Galerie Photo. Waouh.
Bref.
Dans ce Book, une sélection de la séance photo réalisée en compagnie de Béatrice Cruveiller le 20 février dernier, mais également, au passage, quelques photos prises par Alain Brice au mois d’octobre 2014.
Y a plus qu’à s’en servir de ces photos. Mouah ah ah.

Hum. (Bis)

Pas dit que le « rire démoniaque » soit un bon argument professionnel.

A venir…

…Une mise à jour de la galerie photo « Book » de ce site !…
Parce que vendredi matin, j’ai été faire un petit tour à Ivry… Où est basée Béatrice Cruveiller avec laquelle j’avais déjà fait une séance photo en… 2010. Aïe. Déjà.

Celle-ci m’a d’ores et déjà envoyé une petite sélection d’image – ses coups de coeur – la suite arrivera d’ici quelques jours. En tous les cas, elle a su capter des choses fort différentes…
Comme ceci :

Mais également cela :

Et je l’en remercie !
En tous les cas, j’me suis bien amusée… :)